Calendrier

Mar
4
mer
Ludovic Sforza à Loches, les graffitis de sa prison réinterprétés @ Place Jean Jaurès
Mar 4 @ 18h15 – 20h30
Ludovic Sforza à Loches, les graffitis de sa prison réinterprétés @ Place Jean Jaurès | Blois | Centre-Val de Loire | France

 

Conférence par Aymeric Gaubert

Master 2 « Cultures et patrimoines de la Renaissance », université de Tours

 

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Mai
4
mer
Conférence « Chambord et le problème du modèle en bois attribué à Dominique DE CORTONE » @ Salle Kléber LOUSTAU à l'Hôtel du Département
Mai 4 @ 18h00 – 20h00

Par Jean-Sylvain CAILLOU
Ancien membre de la SSLLC parti travailler pendant de nombreuses années à l’étranger. Il est archéologue, auteur de recherches sur Chambord et les souterrains du Blaisois, docteur en histoire et civilisations de l’Antiquité, et expert judiciaire.

Si Chambord est le château le plus connu du Val de Loire, les archives concernant le début de sa construction sont peu nombreuses et ne disent mot, ni du projet initial ni de son architecte. Une ancienne maquette du château fut heureusement découverte dans une maison de Blois à la fin du XVIIe siècle par André FÉLIBIEN. Il en fit une description et des dessins « par lesquels on peut juger de l’intention de l’architecte et de la différence de cette pensée avec ce qui a été exécuté ».

Depuis les premières monographies sur Chambord, celles de Louis DE LA SAUSSAYE au XIXe siècle, jusqu’aux publications les plus récentes, le modèle en bois est systématiquement considéré comme un projet antérieur au début du chantier de Chambord, en septembre 1519. La dernière étude sur le sujet va même jusqu’à supposer que cette maquette, attribuée à l’architecte italien Dominique DE CORTONE, reflèterait le projet d’un « édifice de dimensions assez réduites par rapport au château actuel » qui aurait été conçu entre août 1516 et mai 1518.

À la lumière des observations architecturales les plus récentes, le réexamen que nous proposons arrive à des conclusions sensiblement différentes. Il invite à reconnaître un projet réalisé après une première phase de travaux – ce qui expliquerait aussi les similitudes – et proposant une redéfinition des espaces intérieurs du château consécutive à la révision du plan d’ensemble par François Ier en 1526, au retour de sa captivité en Espagne.

 

Juin
1
mer
Des confréries en Blésois du XVe au XXe siècle @ Salle Kléber LOUSTAU à l'Hôtel du Département
Juin 1 @ 18h00 – 19h30
Des  confréries  en Blésois du XVe au XXe  siècle @ Salle Kléber LOUSTAU à l'Hôtel du Département

Par Jean-Paul SAUVAGE, Historien, conservateur du Musée d’Arts Religieux de Blois et président de la SSLLC

Les associations religieuses réunies autour de la dévotion d’un saint-patron, guérisseur ou protecteur de métiers ou intercesseur puissant ont été un élément important de sociabilité dans les paroisses jusqu’à une époque récente. Leur trace dans le mobilier des églises reste important à travers les bâtons de confréries, les tableaux et les vitraux provenant des chapelles de confréries, mais aussi les cierges de procession, les bancs… Ce travail, en partie inédit a trouvé ses sources dans les archives diocésaines de Blois, qui abrite des archives diocésaines et des registres de catholicité de toutes les paroisses du diocèse.

Déc
7
mer
Conférence « De la paysanne à l’agricultrice… » @ Salle Kléber LOUSTAUD, Hôtel départemantal de Loirt-et-Cher
Déc 7 @ 18h00 – 20h00

« De la paysanne à l’agricultrice : les femmes et la « révolution silencieuse » en Loir-et-Cher (1945-1980) »
Par Jérôme Pelletier, Auteur d’une thèse en histoire contemporaine déposée à l’Université de Paris Ouest Nanterre La Défense

Fruit d’un travail de thèse soutenue en 2010, le propos de cette conférence doit permettre d’éclairer la façon dont une catégorie de travailleuses, les paysannes ou femmes de paysans, tente de profiter d’un contexte favorable, celui des transformations profondes que connaît l’agriculture française à partir de la Libération, pour s’inventer un métier et s’affirmer dans un monde où le poids des logiques de genre est particulièrement opérant.
A travers des archives inédites, il s’agit de montrer comment un groupe de femmes a cherché à s’approprier des techniques nouvelles, facteur de légitimation professionnelle, en usant d’outils d’abord destinés à leurs époux ; puis de montrer qu’une première forme de reconnaissance s’opère à travers une représentation des femmes dans les instances professionnelles ; pour finalement mesurer le poids des contraintes dont les femmes sont à la fois victimes et porteuses.

 

Mar
1
mer
Conférence : « Une église nouvelle pour le plateau de Cabochon : une épopée de « la présence du Christ » dans la croissance urbaine de Blois » @ Salle Kléber LOUSTAU, Hôtel départemental de Loir-et-Cher
Mar 1 @ 18h00 – 20h00
Conférence : « Une église nouvelle pour le plateau de Cabochon : une épopée de "la présence du Christ" dans la croissance urbaine de Blois » @ Salle Kléber LOUSTAU, Hôtel départemental de Loir-et-Cher

Face aux enjeux démographiques des année 50, le diocèse de Blois réfléchi à une installation d’une chapelle sur le plateau de Cabochon qui compte  environ 700 habitants en 1948. En 1962, c’est prêt de 8000 habitants qui sont arrivés dans cette nouvelle zone de urbaine. Une stratégie d’ensemble avec une pastorale extensive est envisagée par les diocèses pour les nouvelles zones urbaines autour du charisme de certains prêtres, à l’image de l’abbé Pierre Sandrin, initiateur du projet de Saint-Pierre de Cabochon. Véritable aventure du XXe siècle, cette nouvelle architecture religieuse est marquée par les changements urbains et sociaux.

Charles-Edouard Guilbert-Roed, est docteur en Histoire de l’Art, spécialiste de l’Architecture il a défendu une thèse à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes sous la direction du Professeur Jean-Michel Leniaud. Le sujet de thèse porte sur la question du renouvellement formel de l’architecture du XXe siècle avec l’utilisation du lamellé-collé au travers de ses capacités techniques, formelles et esthétiques. Guide professionnel conférencier, il a été en charge de la médiation architecturale du quartier de la Défense et de visites du patrimoine architecturale de Paris des XIXème, XXème et XXIème siècles. Aujourd’hui, chef d’établissement coordinateur de l’Institution catholique d’enseignement Saint-Joseph à Vendôme, il est également conservateur adjoint du musée d’art religieux de Blois et membre de la commission d’art sacrée du diocèse de Blois, il anime aussi l’émission sur RCF 41 la Saga des Siècles. 

Avr
5
mer
Conférence « Redécouverte d’une vierge à l’enfant de l’atelier de Botticelli »
Avr 5 @ 18h00 – 19h30
Conférence "Redécouverte d'une vierge à l'enfant de l'atelier de Botticelli"

Il arrive que les églises conservent en leur sein des trésors insoupçonnés. C’est le cas de l’église Saint-Félix de Champigny-en-Beauce qui exposait un tableau considéré comme une œuvre du 19e siècle, mais qui fut en réalité peint autour de 1505 par un membre de l’atelier du peintre italien Sandro BOTTICELLI (1445-1510).

C’est à l’occasion de recherches pour son répertoire des tableaux italiens dans les collections publiques françaises que le conservateur Matteo GIANESELLI fit cette découverte, qui fut confirmée par des analyses du Centre de Recherche et de Restauration des Musées de France et un examen critique par des historiens d’art. La DRAC Centre-Val de Loire fit donc restaurer cette peinture, qui fut classée Monument historique le 30 juin 2021. Après avoir été présentée au musée Jacquemart-André à Paris dans l’exposition « BOTTICELLI. Artiste et designer », elle est exposée dans la chapelle du Musée national de la Renaissance, au château d’Écouen.

Cette « Vierge à l’Enfant », figure emblématique de la Renaissance italienne, présente la particularité d’y associer saint Jean-Baptiste tenant la croix. Il est le saint protecteur de la ville de Florence. Les artistes florentins ont multiplié les représentations de la Sainte Famille, un idéal de vertu et de tendresse, pour des œuvres destinées au cadre familial. De BOTTICELLI et son atelier, on connaît au moins deux autres versions de cette composition (Florence, Palazzo Pitti et Birmingham, Museum and Art Gallery).

La conférencière : Hélène LEBÉDEL-CARBONNEL est conservatrice en chef des Monuments historiques pour l’Indre et le Loir-et-Cher, à la Direction Régionale des Affaires Culturelle du Centre-Val de Loire. C’est à ce titre qu’elle vient présenter l’histoire de ce tableau, de son classement et de sa restauration. Auparavant conservatrice au château royal de Blois, chargée des collections de peinture, elle a dirigé la publication du catalogue des peintures anciennes. Elle est spécialisée dans la peinture française du 17e siècle et dans la postérité de la Renaissance dans les arts en France du 17e au 19e siècle, plus particulièrement dans le Val de Loire.

Mai
3
mer
Conférence : La chouannerie en Loir-et-Cher à travers l’engagement de deux jeunes blésois, Paul et Annette Vallon @ Salle Kléber Loustau, Hôtel du Département, Place de la République, Blois
Mai 3 @ 18h00 – 20h00
Conférence : La chouannerie en Loir-et-Cher à travers l'engagement de deux jeunes blésois, Paul et Annette Vallon @ Salle Kléber Loustau, Hôtel du Département, Place de la République, Blois

La conférence d’Olivier Blanc, historien vice-président de la société des sciences et lettres, relate l’histoire méconnue de deux jeunes blésois, un frère et une sœur issus d’une famille de chirurgiens de pères en fils les Vallon. Nés à la fin du règne de Louis XV Paul et Annette Vallon étaient instruits et courageux ainsi qu’ils le prouvèrent à partir de 1789. Admirateur d’une Révolution réformiste ils refusèrent d’adhérer aux violences qui marquèrent l’année 1792, première année sanglante annonciatrice de la Terreur. L’un comme l’autre et séparément ils rejoignirent la clandestinité contre révolutionnaire et entrèrent dans les réseaux chouans y risquant à chaque moment leur existence. La vie d’Annette Vallon a déjà été étudiée par MM. Guy Trouillard et Emile Legouis comme par tous ceux qui se sont intéressé au père de sa fille Caroline, le grand poète William Wordsworth. Elle entretint en effet avec le « André Chénier britannique », une liaison passionnelle de quelques mois, à Orléans et Blois, laquelle et marqua leur vie à tous les deux. Séparée de son amant par volonté de se sacrifier pour les ceux qui étaient persécutés sous la Terreur, Annette Vallon eut une attitude héroïque qui lui valut sous la Restauration la plus forte admiration et reconnaissance de tous ceux qu’elle contribua à sauver. Paul son frère, eut un itinéraire chaotique et dramatique dans la chouannerie, sur lequel j’ai pu apporter des éclairages significatifs depuis son implication dans le vrai faux attentat commis à Orléans contre le député Léonard Bourdon, ce qui lui valut une condamnation à mort par contumace, jusqu’à son extraordinaire périple avec Mme de Bonneuil sur les routes de l’émigration, que ce soit en Espagne, en Ecosse ou aux Pays Bas. Avant de finir bourgeoisement comme notaire à Saint-Dyé ayant échappé plusieurs fois à la prison et à la guillotine.

Historien, lauréat du prix Thiers de l’Académie Française, Olivier Blanc s’est surtout intéressé au XVIIIéme siécle et notamment à la Révolution Française et la période napoléonienne. Ses ouvrages à succès sur les lettres d’adieu de condamnés à mort de la Terreur et la biographie d’Olympe de Gouges ne doivent pas cacher son intérêt pour la diplomatie secrète et l’espionnage politique international, conduisant à de nombreuses publications et conférences en France et à l’étranger.Il est actuellement vice-président de la SSLLC et membre correspondant de la Société Archéologique et Historique du Tarn-et-Garonne.

Tarifs :
– Adhérents : gratuit
– Visiteurs : 5€
Nov
9
jeu
Conférence : L’entourage masculin de Marie-Antoinette par Emmanuel de Valicourt
Nov 9 @ 18h00 – 19h30

Alors que l’Étiquette de Louis XIV continue de régir la vie à Versailles, Louis XV se retire dès qu’il le peut avec une compagnie choisie à qui il prépare le café, quand Louis XVI se replie dans sa forge sous les toits du château. A leur suite, l’ensemble de l’aristocratie se met à priser les plaisirs d’une vie d’intimité. Dans ce mouvement, Marie-Antoinette joue un rôle exemplaire.

Rapidement lassée des devoirs de sa charge, que l’impératrice Marie-Thérèse ne cesse de lui rappeler, elle goûte de retrouver ses amis en des lieux fermés au reste de la cour : « Ici je ne suis pas la reine, je suis moi ». Aucune de ses devancières n’avait affiché une telle séparation entre la souveraine et la femme. Elle entend vivre en harmonie avec elle-même et ses sentiments. Alors que nul n’ignore ses déboires conjugaux, la reine est vue à Paris au bal de l’Opéra avec le comte d’Artois, à Versailles avec le beau Lauzun, avec le cancanier Besenval, le capricieux Vaudreuil, à Trianon avec le docile Esterhazy, ou le ténébreux Fersen. La cour parle des « Favoris de la reine ». Autour de ce nouveau rôle, les intrigues se nouent et se défont entre les candidats et leurs soutiens.

Emmanuel de Valicourt, ordonné prêtre en 2006, curé du secteur pastoral Blois-Rive-Gauche, chancelier diocésain à Blois depuis 2019, est également juriste et chargé d’enseignement à l’Institut catholique de Paris. En 2016, il obtient le grade de docteur en droit, suite à la validation de sa thèse intitulée « La Société parfaite – catégorie de la modernité, catégorie théologique ».
Passionné par l’histoire de la société française d’Ancien Régime pré-révolutionnaire, il est l’auteur d’une biographie de Charles-Alexandre de Calonne, dernier grand ministre de Louis XVI (Clément Juglar, 11/2015), saluée par la critique. En 2019, il publie son deuxième ouvrage intitulé « Les Favoris de la Reine. Dans l’intimité de Marie-Antoinette » (Taillandier, 5/2019)

Déc
6
mer
Conférence « Les Femmes de Chambord au XVIe siècle »
Déc 6 @ 18h00 – 20h00

Exposé de Thibaud FOURRIER et François PARROT

Chambord n’est peut-être pas connu pour être « le château des dames », cependant, un certain nombre de femmes, illustres ou méconnues, parsèment l’histoire de ce bâtiment dès le début de sa construction et jusqu’au règne du dernier des Valois. Ainsi, l’une d’elles se distingue comme véritable « gardienne du temple », ayant fréquenté Chambord, auquel elle témoignait un attachement certain, à de multiples reprises, sous François Ier, Henri II, François II, Charles IX et Henri III…

Une autre, à l’ombre des échafaudages et des grues, y a trouvé l’amour – ou tout au moins un mari… Une autre encore nous a laissé un témoignage émerveillé de sa visite du donjon tout juste achevé, en 1536…

Elles s’appelaient Anne, Mathurine, Marie ou La Chailloue et toutes nous font revivre la folle aventure de la construction de ce palais inouï où l’on prêchait la croisade, puis de son inachèvement dans un pays ravagé par les guerres de religion.

 

Les auteurs :

Thibaud Fourrier (docteur en Histoire) et François Parot sont tous les deux chercheurs associés au Centre d’études supérieures de la Renaissance à Tours
Ils sont co-auteurs de nombreux articles scientifiques et chapitres de livres, dans le domaine de l’histoire de l’art, de l’emblématique et de l’évangélisme à la cour de François Ier.

Précédentes interventions à la SSLLC :
• « Qu’est-ce que Chambord ? Étude du décor sculpté et nouvelles interprétations », t. 65, 2010
• « François de Moulins de Rochefort, maître d’école de François Ier », t. 67, 2012

T. Fourrier est par ailleurs spécialiste de l’histoire du protestantisme et de l’horlogerie à Blois :
• « La communauté protestante de Blois au XVIIe siècle : réseaux et influences », t. 68, 2013.

Jan
10
mer
Conférence « Les curieuses et épiques aventures des écrivains d’expression populaire »
Jan 10 @ 18h00 – 20h00
Conférence "Les curieuses et épiques aventures des écrivains d’expression populaire"

 

Le Loir-et-Cher peut s’enorgueillir de compter un illustre représentant de la littérature et de la culture françaises, Pierre de RONSARD, né à Couture-sur-Loir au magnifique manoir de la Possonnière. Il partage cet honneur avec l’Indre-et-Loire puisque le poète de la Pléiade est décédé au Prieuré de Saint-Cosme à la Riche.

Il en est de même pour les écrivains issus des classes laborieuses que leur attache natale n’a pas empêché de migrer en alternance en Eure-et-Loir pour François-Victor LERICHE, d’aller au front durant la première Guerre mondiale pour Fernand CREUZET, de courir dans toute la France et même l’Afrique du Nord pour Léon BOUREAU, ou d’atteindre Paris et la Nièvre pour François ROUGET. La vie à la fois marginale, discrète, surprenante, secrète, enracinée ou rocambolesque de ces auteurs des XIXe et XXe siècles révèlent un changement de polarisation de la littérature française survenue massivement à l’époque romantique (1830-1840) bien qu’amorcée depuis le XVe siècle.

L’enjeu des recherches patrimoniales dans le domaine de la littérature d’expression populaire est de réinterroger l’histoire littéraire – bousculée, enrichie ou confortée dans ses concepts – et de proposer une cartographie anthropologique concernant un pan de la littérature marginalisé mais sans pour autant l’opposer systématiquement au panthéon littéraire avec qui les rapports étaient parfois très instructifs et solidaires.

Telle est l’orientation multiple et complémentaire du Dictionnaire littéraire des écrivains d’expression populaire, évolutif et en ligne, où sont référencés les trois poètes en question parmi 1 144 auteurs de la France entière.

 

Frédéric-Gaël THIEURIAU :

Frédéric-Gaël THEURIAU, docteur en langue et littératures, détenteur des Palmes académiques de la République française, enseignant, chercheur, critique, essayiste, est également habilité à conduire des recherches en nouvelles humanités médicales.

Il est membre de l’Association Pierre de Ronsard (Couture-sur-Loir) depuis 2016, est intervenu plusieurs fois dans des colloques au Manoir de la Possonnière, et participe régulièrement, et depuis cinq ans, à l’émission « La Saga des Siècles » sur RCF41 que le docteur en Histoire de l’Architecture Charles-Édouard GUILBERT-ROED a mis en place en 2019.

Il est par ailleurs membre (depuis 2017) de l’Association Internationale des Études Françaises (Paris), membre (depuis 2013) de la George Sand Association (États-Unis, Hofstra University), Vice-président (depuis 2007) de la Société des Amis du Centre d’Études Supérieures de la Renaissance (Université de Tours),  Membre (depuis 2007) du P.E.N. Club français (Paris), et enfin membre (depuis 2003), ancien secrétaire (2004-2010) et Conseiller culturel (depuis 2013) de l’Association Internationale de la Critique Littéraire (Université de Tours).

Il faut ajouter enfin ses affiliations comme Chercheur associé (depuis 2002) à l’Université de Tours (EA 2115 : Histoire des Représentations / EA 6297 : Interactions Culturelles et Discursives), Chercheur statutaire (depuis 2010) au Centre d’Études Supérieures de la Littérature à Tours (Unité Indépendante de Recherche), Membre chercheur (depuis 2015) à l’Université York à Toronto au Canada (Canada Mediterranean Centre) et Membre chercheur (depuis 2019) à l’Université des Mascareignes à Beau-Plan à l’île Maurice (Centre des Humanités Numériques).

 

Tarifs :
– Adhérents : gratuit
– Visiteurs : 5€
Salle Kléber-Loustau à l’hôtel du département de Loir-et-Cher, 18h